Les fêlures, les blessures, les morsures,

Les fêlures, les blessures, les morsures, 
Les années de galère, toutes vos douleurs, 
Ces larmes acides et qui vous défigurent 
En creusant des sillons dans vos cœurs. 

Ces regrets qui n'ont pas fière allure, 
Ces doutes qui vous tourmentent la nuit, 
Ces sentiments promis que l'on vous jure, 
Tous ces maux qui hurlent comme des cris. 

Ces silences aussi noirs que des mûres, 
Ces attentes qui n'en finissent plus, 
Ces regards haineux, toutes ces injures, 
Tout ce qui vous fait mal et vous tue. 

Tout doit disparaître et séance tenante ! 
Basculer dans le vide, s'écraser en bas ! 
Il faut redonner aux vies qui se lamentent, 
De leur soleil perdu, enfin tout son éclat !

On s’habitue à la sévérité du temps.

On s'habitue à la sévérité du temps.
À l’orage, au vent de l’orient 
Sur les montagnes, sur les collines.
À tous les souvenirs qui s’inclinent. 

On s'habitue à l’amour.
Un cœur qui bat, un autre qui meurt.
Une étincelle de chaque jour 
Qui illumine notre demeure. 

La vie est une fertile terre.
L’amour pétale de fleur 
Qui parfume l’univers 
En adoucissant le bonheur.

On s’habitue à la solitude. 
Le cœur battant par habitude. 
On s’installe quelque part 
Loin des yeux bizarres. 

On s’habitue à l’habitude.
L’usage et les traditions.
La joie et l’inquiétude. 
À vivre sans faire attention

C’est comme si la terre tremblait sous vos pieds

C'est comme si la terre tremblait sous vos pieds, 
À en perdre le souffle et l'équilibre 
En faire une chute libre... 

Quelque chose que l'on vous arrachera
Comme une partie de vous chère en chair. 

Aucun n'a donc penser à une anesthésie. 
On pleure, parce qu'il faut tant 
Et tant de larmes pour aimer. 

Mais aussi, pour ne plus savoir aimer ... 
Oublier qu'on a encore aimé ... 

Il va falloir pleurer en silence ... 
Puni... D’absence. 
Privé de toute présence ... 
Tout comme aimer en silence ... 

Il s'avère que certaines larmes, 
En révèlent certains secrets ... 
De moi, de ma peine ... 
De toi, de mon désarroi... 

De mon âme sans toit 
De ma joie autrefois ... 
Des lois, de ma vie ... 
D'un royaume sans roi ... 

Il était une fois .... 
Espoirs en désespoirs... !!!

La vie ne serait-elle que tristesse

La vie ne serait-elle que tristesse
N’y a t'-il que le bât qui nous blesse
Que cette détresse qui tient en laisse

Toi qui crois aux merveilles
A la douceur du soleil

Tu te sais mélancolique
Ta sensibilité te pique

Tes cils se mouillent
Ta vue se brouille

Cette grisaille des jours 
Par ce mal d'amour

Ces nuits blanches 
Devant les pages blanches
Ces rêves que l'on fait 

La laideur de ce monde 
Qui entache tant le bonheur 
Rend le cœur en pleurs 

La vie n'est-elle donc qu'un mirage 
Sur les rives du naufrage

Dans la solitude de mes jours de ma vie

Dans la solitude de mes jours de ma vie, 
Les yeux pleins de soleil, mais le cœur haletant, 
Je te regarde ma verte vallée les yeux mi-clos, 
Pourquoi n’as-tu pas le même écho ? 

Je scrute la cime des arbres espérant entrevoir, 
Un signe, un souffle de vent qui m’apporte l’espoir, 
Rien ne bouge, tout est figé même les nuages, 
Sont-ils frappés du désespoir de ne pas voir ton image ? 

Les oiseaux qui d’habitude chantent à cœur joie, 
Les tourterelles qui aiment nous offrir leurs ébats, 
Les animaux qui habituellement sont nos rois, 
Pourquoi ne se montrent-ils pas ? 

Moi aussi, mon âme et mon cœur sont en peine, 
Je ne suis pas à la fête, je végète, je me traîne, 
Sa voix, sa présence, son absence me pèse, 
Je scrute l’horizon avec l’espoir que l’attente s’achève

Sois prudent dans tes jugements.

Sois prudent dans tes jugements. 
Les paroles sont des armes puissantes 
Qui peuvent faire beaucoup de mal. 

Que ta langue ne ridiculise jamais personne. 
Que ta bouche ne diminue personne. 

Une parole dure, une parole vive 
Peut brûler longtemps dans le fond du cœur, 
Y laisser une cicatrice. 

Tolère que les autres soient, 
Qu’ils pensent autrement, 
Fassent autrement, 
Sentent autrement et parlent autrement. 

Dans tes paroles sois généreux et clément. 
Les paroles doivent être des lumières. 
Les paroles doivent réconcilier rapprocher et apaiser.

Là où les paroles deviennent des armes 
On se retrouve face à face comme des ennemis. 

La vie est trop courte et notre monde bien trop petit 
Pour faire un champ de bataille

Il y a des jours comme ça…

Il y a des jours comme ça... 
Et tu n'as pas toujours le choix. 
Le bonheur parfait sur la terre est difficile à trouver. 
Je pense même qu'il ne doit pas exister. 

Alors au lieu de le chercher 
Contente-toi de ce que la vie t'a donné 
Et comme on dit souvent... 
Après la pluie, le beau temps ! 

Regarde autour de toi tu verras 
Que tu n'es pas seul dans ton cas. 
Des problèmes, tout le monde en a.

Chacun essaie de les surmonter. 
On n'a pas le choix, il faut continuer de grimper 
Sur la route de la vie souvent escarpée. 

Il faut de maudits bons crampons. 
Si on ne veut pas finir seul et misérable dans le salon.
On passe tous par de durs moments. 
On se dit que rien ne sera pareil comme avant.

Et tout à coup, on se lève un matin 
Et juste l'air et le soleil nous font du bien. 
On réalise qu'on était un peu dépassé. 
Qu'il y a de belles choses à regarder. 

Si on prend le temps de s'y arrêter. 
Et de regarder de tous les côtés. 
N'oublie pas que chaque 24 heures 
Est un bonheur à savourer 

Alors... reprends-toi !

C’est elle, c’est la tristesse.

C’est elle, c'est la tristesse.

Elle étend sur les choses une clarté blafarde, 
Un nuage de cendre qui fait pleurer tes yeux.

Tout ce que tu aimais semble te dire adieu, 
Et tu n'entrevois plus que la mort sous ses hardes. 

Alors l'autre s'invite et prend toute la place. 
Elle chasse amis, parents, et d'un trait, les effacent. 

Autour de toi plus rien, elle amortit les bruits, 
Elle baisse la lumière, t'alanguit de paresse, 
Elle est douce et jalouse, elle prépare ta nuit. 

Cette lente asphyxie, c'est elle, c'est la tristesse.

Cette larme remplie de tristesse

Cette larme remplie de tristesse

Elle coulait le long de tes joues, 
Laissant derrière elle un soupçon de chagrin. 
Elle laissa tes yeux pour aller mourir doucement... 
D’où elle naquit, nul ne le saura, 
Qui l’a fait naître, non plus... 

Seul ton cœur meurtri en connaît les mots, 
Qui servent à la décrire. 
Elle est le résultat d’un amour manqué, 
D’une douleur latente. 

Elle est ce qui déborde en toi. 
Une vie à la dérive l’a fait naître, 
Un destin qui renonce à te voir. 

Elle lui appartient, elle n’est pas tienne... 
Même si de tes yeux elle coule. 

Elle est venue pour te soulager, 
Pour t’empêcher de succomber
Secrètement, dans le silence, 
Sans que personne ne s’en aperçoive. 

Cette larme, tu ne l’as pas souhaitée,
Tu ne l’as pas désirée. 
Mais elle est là dans tes yeux, 
Elle tombe et te mouille de peines. 

Elle transporte en elle toute une vie,   
Un chagrin que tu ne sais décrire. 
Il te manque, 
Plus que tu ne saurais jamais le dire.

Elle fuit ce monde d’indifférence.

Elle fuit ce monde d’indifférence.

Elle s’est recroquevillée, doucement isolée. 
Vivre pourquoi faire. 
Si ce n’est que pour déplaire. 

Plus rien n’a vraiment d’importance 
Quand il n’y a que souffrance. 

Son cœur s’est vidé. 
Plus rien n’y est resté. 

Elle ne veut plus rien donner. 
Plus rien conserver. 

Elle se sent seule au monde. 
Ses yeux s’inondent 
De larmes qui la désarmes. 

La tristesse est devenue sa maitresse 
Quand tout n’est que désarroi, 
Qu’il n’y a plus de joie. 

Parfois, elle se sent perdue. 
Complétement nue 
Face à l’indifférence. 
Elle ne fait plus confiance. 

Tout n’est que mensonge dans la vie. 
Elle se sent meurtrie. 

Rien ne la console aujourd’hui. 
Elle fuit ce monde d’indifférence. 
D’impertinence, 

Où tout n’est qu’hypocrisie face à la vie 
Ou chacun vit simplement pour lui

Pleurer n’est pas une honte.

Pleurer n'est pas une honte. 
Cela soulage le cœur. 
Permet de se vider et prouve que tu es humain. 

Verser une ou des larmes par amour, 
Une perte, ou de joie c'est la vie, 
On est fait ainsi.

C'est la nature de l'être humain.
Une larme est belle. 

Elle coule le long de ton visage. 
Caresse ta joue pour finir soit 
Direction ta bouche ou ton cou. 

Elle est froide. 
Elle est salée.

Mais elle est née comme ça 
Pour nous faire comprendre son existence.

Pleure si tu as mal. 
Pleure si tu es heureux(se). 
Pleure si tu aimes. 

Le silence ! Ce néant de nouvelles …

Le silence !

Ce néant de nouvelles 
Qui t’a rendu trop malheureuse 
Alors que tu demeurais si heureuse. 

Que votre histoire était si belle.
 
Ce silence qui t'a tant fait souffrir 
Et qui t'a longtemps fait pleurer. 

Il aura fallu des mois douloureux 
Pour trouver réponse aux questions. 

Il aura fallu toute ces appréhensions 
Pour enfin enlever et ôter ce pieu 
Qui avait transpercé ton cœur

Quand il t'a laissé dans les pleurs 
Parce que vous n’étiez plus deux !

Aujourd’hui le temps est ton allié. 
La patience est ta grande force. 

Même si tu sais que cela t'écorche. 
A ce mal tu tentes d'y pallier 

Parce que tu n'as qu’une seule idée, 
Que jamais rien ne t’en détournera, 


Même si les doutes sont là. 
Car seul le cœur saura te guider !

La lettre (18) – La seule vraie tristesse est dans l’absence de désir

La seule vraie tristesse est dans l'absence de désir

La tristesse est un mur élevé entre deux jardins. Souvent une fausse joie vaut mieux qu'une tristesse dont la cause est vraie. Si nous ne naissons que pour les plaisirs des sens, pourquoi ne peuvent-ils nous satisfaire, et laissent-ils toujours un fonds d'ennui et de tristesse dans notre cœur ?

Le seul bien qui me reste au monde est d'avoir quelquefois pleuré. Souvenons-nous que la tristesse seule est féconde en grandes choses. A la mélancolie d'une dernière représentation s'ajoute la tristesse que l'on ne pourra pas, demain, être meilleur. Conquérir sa joie vaut mieux que de s'abandonner à sa tristesse.

Hélas ! La grande tristesse actuelle est que les choses n'ont plus le temps de vieillir. L'âme résiste bien plus aisément aux vives douleurs qu'à la tristesse prolongée. C'est fou comme la voix seule peut dire d'une personne qu'on aime de sa tristesse, de sa fatigue, de sa fragilité, de son intensité de vivre, de sa joie. Sans les gestes, c'est la pudeur qui disparaît, la transparence qui s'installe. Ne laisse pas la tristesse t'étreindre avant que la terre te prenne dans son sein.

Nous sommes si aveugles que nous ne savons quand nous devons nous affliger ou nous réjouir : nous n'avons presque jamais que de fausses tristesses ou de fausses joies. Une âme élevée se réjouit peu, ne s'afflige jamais, et, dans toute chose ne laisse paraître aucun signe de joie ou de tristesse.

La joie et la tristesse sont toutes deux des chaînes ; l'une est en or et l'autre est en fer, mais elles sont également faites pour nous enchaîner et nous empêcher de réaliser notre vraie nature. La vie est tristesse. Surmonte-la.

Les années défilent comme le vent.

Les années défilent comme le vent. 
Emporte les feuilles à l'automne. 
Mais les questions demeurent au temps 
Comme sont ancrés les sentiments. 

Elles ont leurs saisons 
Comme on a le bourdon. 
Périodes qui changent les humeurs 
En toute douceur ou avec frayeur. 

Et l'on traverse ces nuages d'espaces. 
Et les couleurs s'éloignent des rivages. 
Et l'esprit trotte dans tous ces espaces. 
Et seules les traces se voient sur le visage. 

Malgré les sourires, malgré les envies 
Certaines empreintes restent indélébiles. 
On a beau changer le décor, changer d’île. 
Il est des flèches plantées dans le cœur, à vie

Ton désespoir est toujours aussi grand

Tu t’es recroquevillée. 
Tu n’as plus envie de parler. 
Ton cœur est déchiré. 
Les palpitations sont démesurées. 

Tu as fait un arrêt sur image. 
Tu n’arrives pas à tourner la page. 
Le chagrin te brise toute entière. 
Tu te sens vide et amère. 

Tes larmes se brisent sur tes joues. 
Tu ne ressens que du dégoût. 
Ta tête est pleine de pensées. 
Tu n’arrives pas à les exorcisées 

Tu as mal au plus profond de toi. 
Il te manque et tu ne le supporte pas.
Le manque on ne s’y habitue pas. 	
Le vide on ne le comble pas. 

Aujourd’hui, 
Les souvenirs remontent à la surface. 
Ta tristesse, 
Tu la prends en pleine face. 

Tu ne veux pas oublier tous ces souvenirs. 
Tu ne veux pas les voir partir.

Ton désespoir est toujours aussi grand

Il pleut sur ton cœur.

Il pleut sur ton cœur. 
Sur ton immense douleur. 

Tu hurles en silence 
Cette intime souffrance. 

Mais personne ne t’entend.
Tes cris se perdent dans le néant. 

Le vent les emporte sans un bruit 
Comme des messagers sans vie. 

Tu t’enfermes dans ce monde 
Peuplé d’ombres moribondes

Qui tournent autour de toi.
T’emprisonnent dans leurs bras. 

Il pleut sur ton cœur. 
Les larmes coulent et se meurent sur tes joues

Sur ton visage,
Sur ton âme en naufrage

Seule partition comme bagage, son cœur.

Seule partition comme bagage, son cœur. 
Que de douces images en douceur. 

Des notes en rafale qui y demeurent. 
Des émotions qui s’emballent et y meurent. 

Aucun chef d’orchestre. 
Elle mène sa barque comme un chemin pédestre. 

Elle y dépose ses marques. 
Elle coordonne sa vie tout en folie. 

Elle déverse ses pleurs, ses douleurs. 
Elle vide son âme. 

Ses vagues à l’âme au fil du temps lentement. 
Aucune trace ne perdure. 

Juste quelques blessures. 
Emotionnelle. 
Rebelle. 

Elle avance tel un soldat. 
Elle guide ses pas. 

Elle n’attend rien. 
Simplement la fin.

Le temps s’écoule en cadence,

Le temps s'écoule en cadence, 
Comme tes larmes sur tes joues en abondance. 

Tic-tac...tic-tac fait l'horloge, 
L’heure du changement en dégorge. 

Ce n'est plus le moment des regrets, 
Ils appartiennent désormais au passé. 

Aujourd'hui tu veux t'enivrer d'amour, 
À t'en étouffer chaque jour. 

Avancer vers cette lueur, 
Et goûter à de nouvelles saveurs. 

Tic-tac...tic-tac fait la vie, 
Elle défile pendant que toi tu vieillis. 

Quitte à te trainer, 
Tu ne vas pas abandonner. 

Et si tu dois y arriver en rampant jusqu'au bonheur, 
Alors tu te feras violence et vaincras ta peur. 

Tu as tant rêvé de cette chaleur,
Qui adoucirait ton cœur. 

C'est donc dans une lutte acharnée, 
Que tu traverseras cette tempête déchainée. 
Le compte à rebours a déjà commencé, 
Tu dois, coûte que coûte te sauver.

Aujourd’hui tes mots se sont perdus dans la souffrance

Aujourd’hui tes mots 
Se sont perdus dans la souffrance

Les lettres se trouvent dispersées 
Au fond de ton cœur

Tu n’arrives plus à y puiser 
Toutes leurs douceurs

Tu n’arrives plus à créer 
De belles cohérences 

Terrible douleur 
Qui t’arrache les tripes, le cœur

Un vide, un manque 
Qui t’enlève ton soleil

Plus rien ne sera plus jamais 
Contes et merveilles 

Souffrance tragique 
Qui te détruit de l'intérieur 

Foutu destin 
Que celui qui touche le meilleur 

Alors que le mauvais 
S’en sort toujours très bien

Foutu espoir
Qui nous fait croire aux lendemains

Et qui nous afflige pourtant 
Son lot de malheurs.

Tu ne peux pas effacer tes mots,

Tu as beau avoir une gomme au bout de ton crayon 
Mais tu ne peux pas effacer le passé 
Ni d'ailleurs ton présent 

Tu ne peux pas effacer tes mots, 
Tes gestes, ta douleur 
Comme tu effacerais des mots sur du papier 

Tu ne pourras jamais effacer 
Les personnes de ta mémoire 
Comme tu les effacerais de ton Facebook 
Ou de ton répertoire. 

Le passé ou le présent laisse des traces 
Et il te hante et te torture 
Tu ne pourras jamais effacer ta souffrance. 

Qui peut dire qu’il n’a jamais 
Pleuré et/ou déprimé en silence ? 

Qui peut dire qu’il n’a jamais 
Voulu tout recommencer ? 

Qui peut dire qu’il n’a jamais 
Eu les larmes aux yeux dans son passé 
Ou dans un état actuel ? 

N’oublie jamais tes larmes 
Car elles te permettront de devenir meilleur

Si ce soir je te racontais une histoire?

Si ce soir je te racontais une histoire?
L'histoire de ces deux personnes qui n'osaient croire,
Que l'amour était pour eux, mais pour les autres,
L'amour n'est ni le tien, ni le mien, mais le nôtre.

Et si ce soir je te chantais une chanson ?
Qui exprimerait mes désirs et émotions,
Dans le refrain, ton prénom je le crierai,
Et dans ton cœur, en or le mien je graverai.

Et si ce soir je t'écrivais un poème?
Qui parlerait d'une femme pour qui l'être suprême,
N'est ni une légende, ni une fable, ni un dieu,
Un homme à qui elle voue l'amour glorieux.

Mais je ne ferai rien de tout cela,
Je vais lever mes yeux et mirer le ciel,
J'y verrai ton étoile, je penserai à toi,
Et puis je dirais simplement que je t'aime...

Rien ne peut remplacer dans ce monde ce qui fait vibrer notre âme

Rien ne peut remplacer dans ce monde 
Ce qui fait vibrer notre âme 
La seule chose qui arrive vagabonde 
Et emporte tout telle une flamme 

Cette chose nous transperce le cœur 
Elle le poignarde, le fait voler en éclat 
Nous l'aimons et cela sans peur 
Car c'est d'elle même que l'on arriva 

Ce mot est universel 
Il peut être présent chaque jour 
C'est lui qui nous ensorcèle 
C'est ce doux mot : l’amour

La vie est une chanson faite de pleurs et de rires,

La vie est une chanson faite de pleurs et de rires, 
Si tu as un crayon commence à l'écrire. 

Quand tu auras les mots choisis ton tempo ... 
Il est temps de s'amuser c'est à toi de chanter. 

Mais cette chanson est à toi, 
Tu peux donc y mettre fin, 
Mais ne serait-ce pas mieux, 
Tu crois, d'attendre le dernier refrain ? 

Sache que l'instant est unique 
Peut-être même magique, 
Il faut donc profiter de chaque couplet. 

A présent, tu ne dois pas reculer, 
Car même si l'on dit que le passé fait de nous ce que l'on est, 
Le présent pourra toujours tout changer.

Où es-tu soleil de ma vie ?

Où es-tu soleil de ma vie ? 

Que fait tu loin de mon cœur. 
Emmène-moi près du soleil. 

Tu es venu me voir. 
Comme un nouveau printemps. 

Sans me dire tout bas, 
Ce que j'espérais entendre. 

Je t'aime toi mon ange. 
Mon soleil du matin, 
Tu as égaillé mon cœur. 
En lui donnant du bonheur. 

Tu es loin de moi. 
Mais si près de mon cœur. 

A chaque instant, il bat 
Et combats pour toi. 

Un jour viendra, 
Ou nous serons unis 

Réunis par notre amour, 
Qui dureras toujours.

Dans la vie, on croise des gens précieux

Dans la vie, 
On croise des gens précieux, 
Qu’on voudrait garder toujours auprès de soi, 
Mais qui, pour des raisons 
Qui ne tiennent ni à eux, ni à nous, 
Sont forcés de s'en aller. 

Ce n'est pas qu'ils nous abandonnent de leur plein gré, 
Ni que nous soyons coupables de n'avoir pas su les retenir, 
C’est juste que, parfois, 
Il ne peut en être autrement. 

Il m'est arrivé de chérir profondément 
Des êtres que j'ai perdus, 
Et c'est peut-être pour cela qu'on écrit, 
Pour les retrouver et cheminer, 
L’espace d'un instant, 
À leurs côtés. 

Comme si rien n'avait changé.

Cette plume !

Cette plume

Si légère
Si douce
Si colorée
Si éclatante

Cette plume
Qui parcouru le monde entier
A la recherche de paysages nouveaux
Comme si elle n’avait pas vu le plus beau !

Cette plume si brillante
Cette plume si vivante
Si souriante
Si simple
Et si décidée
Que têtue comme elle est
Il n’y a qu’une chose qui puisse l’arrêter

C’est cette chose qu’elle cherche
Et qui est si simple à trouver
Qui est encore plus belle que les étoiles

Cette chose ...
C’est l’amour !

Comment l’amour meurt-il ?

Comment l'amour meurt-il ?

Vous pensez que l'amour meurt du jour au lendemain ?

Non, l'amour meurt lentement.

Il meurt par le manque de dialogue,

Le manque d'affection,

Le manque d’attentions et de gentillesse

Et par un manque d’intérêt par rapport à l'autre.

L'amour n'est pas fait de grandes manifestations

Mais de petits détails.

Il survit avec des petits gestes au quotidien,

Un bonjour,

Un comment vas-tu,

As-tu bien dormi,

Un puis-je t'aider,

Un gentil mot murmuré à l'oreille,

Un petit bisou,

Un câlin sans raison aucune,

Des rires partagés,

Un je serai toujours là.

La grandeur de l'amour est faite d’attitudes

Petites et gratuites.

L’amour doit être alimenté tous les jours

Pour rester en vie....

Avant de briser un cœur,

Regarde si tu n'es pas à l'intérieur.

Il est un amour qui …

Il est un amour qui ne nécessite pas 
De connaître quoi que ce soit à ton sujet, 
Il ne pose aucune condition, 
Ne demande rien. 

Je n’ai pas besoin de savoir 
Si tu as un talent spécial avant de t’aimer. 

Le simple fait que tu Sois, et tu Es, 
Fait que tu es Cela 
Et Cela est l’Amour lui-même 
C’est l’amour véritable. 

Ce n’est pas un amour à propos de quelque chose 
« Je t’aime parce que tu es si belle », 
« Je t’aime parce que tu me donnes quelque chose », 
« Je t’aime parce je vois ce que tu fais » …

Qui me dira où nous allons – Tu es ma solitude

Frank Michael – Tu es ma solitude

 

Qui me dira où nous allons

Si notre choix est bien ou bon

Si sur les routes sans retour

Entre nos doutes, nos détours

S’il n’y a rien 

 

Quand marcher seul me semble long

Je t’imagine à l’horizon

Au soir le ciel, au loin encore

Dessine les courbes de ton corps

Tu m’appartiens

 

Tu es ma solitude et ma folie

Tu es mon vent du sud les jours de pluie

Comme un soleil au bout de ma nuit

Comme un coin de ciel bleu au matin gris 

 

Tu es ma solitude et tu m’enchaines

A cette incertitude où tu promènes

Entre mes silences et mes cris

Mon cœur fou amoureux tu es ma vie 

 

Qui me dira quel est ton nom ?

Es-tu amour ou illusion ?

Qui me dira pourquoi j’y crois

S’il n’y a rien si c’est toi 

Qui sera là !

 

Tu es ma solitude et ma folie

Tu es mon vent du sud les jours de pluie

Comme un soleil au bout de ma nuit

Comme un coin de ciel bleu au matin gris 

 

Tu es ma solitude et tu m’enchaines

A cette incertitude où tu promènes

Entre mes silences et mes cris

Mon cœur fou amoureux tu es ma vie 

 

Tu es ma solitude tu es ma vie 

Tu as quel àge ?

Tu as quel âge ?


Tu as l'âge de voir les choses avec tranquillité 
Mais dans l'intérêt de continuer à évoluer. 

Tu as i l'âge de caresser tes rêves du bout de tes doigts 
Et de voir tes illusions se transformer en espoir. 

Tu as l'âge ou l'amour est parfois une flamme 
Qui a besoin de consumer dans le feu d'une passion désirée, 
Parfois un havre de paix, 
Tel un coucher de soleil sur la plage. 

Tu as l’âge de savoir ce que tu veux 
Mais surtout ce que tu ne veux plus ... 

Tu as quel âge ? 


Tu n’as pas besoin de nombre, 
Car tes désirs réalisés, 
Les larmes que tu as versées en voyant tes illusions se briser
Valent beaucoup plus que ça ... 

Quelle importance d'avoir vingt, 
Quarante, soixante ans !! 
Ce qui importe c'est l'âge qui te correspond. 

Tu as l'âge qu'il te faut pour vivre libre 
Et sans peur. 
Poursuivre ton chemin sans crainte, 
Car tu portes avec toi l'expérience que tu as acquise 
Et la force de tes désirs. 

Tu as l'âge suffisant pour faire ce que tu veux 
Et ce que tu ressens ...