Les fêlures, les blessures, les morsures,
Les années de galère, toutes vos douleurs,
Ces larmes acides et qui vous défigurent
En creusant des sillons dans vos cœurs.
Ces regrets qui n'ont pas fière allure,
Ces doutes qui vous tourmentent la nuit,
Ces sentiments promis que l'on vous jure,
Tous ces maux qui hurlent comme des cris.
Ces silences aussi noirs que des mûres,
Ces attentes qui n'en finissent plus,
Ces regards haineux, toutes ces injures,
Tout ce qui vous fait mal et vous tue.
Tout doit disparaître et séance tenante !
Basculer dans le vide, s'écraser en bas !
Il faut redonner aux vies qui se lamentent,
De leur soleil perdu, enfin tout son éclat !
On s'habitue à la sévérité du temps.
À l’orage, au vent de l’orient
Sur les montagnes, sur les collines.
À tous les souvenirs qui s’inclinent.
On s'habitue à l’amour.
Un cœur qui bat, un autre qui meurt.
Une étincelle de chaque jour
Qui illumine notre demeure.
La vie est une fertile terre.
L’amour pétale de fleur
Qui parfume l’univers
En adoucissant le bonheur.
On s’habitue à la solitude.
Le cœur battant par habitude.
On s’installe quelque part
Loin des yeux bizarres.
On s’habitue à l’habitude.
L’usage et les traditions.
La joie et l’inquiétude.
À vivre sans faire attention
C'est comme si la terre tremblait sous vos pieds,
À en perdre le souffle et l'équilibre
En faire une chute libre...
Quelque chose que l'on vous arrachera
Comme une partie de vous chère en chair.
Aucun n'a donc penser à une anesthésie.
On pleure, parce qu'il faut tant
Et tant de larmes pour aimer.
Mais aussi, pour ne plus savoir aimer ...
Oublier qu'on a encore aimé ...
Il va falloir pleurer en silence ...
Puni... D’absence.
Privé de toute présence ...
Tout comme aimer en silence ...
Il s'avère que certaines larmes,
En révèlent certains secrets ...
De moi, de ma peine ...
De toi, de mon désarroi...
De mon âme sans toit
De ma joie autrefois ...
Des lois, de ma vie ...
D'un royaume sans roi ...
Il était une fois ....
Espoirs en désespoirs... !!!
La vie ne serait-elle que tristesse
N’y a t'-il que le bât qui nous blesse
Que cette détresse qui tient en laisse
Toi qui crois aux merveilles
A la douceur du soleil
Tu te sais mélancolique
Ta sensibilité te pique
Tes cils se mouillent
Ta vue se brouille
Cette grisaille des jours
Par ce mal d'amour
Ces nuits blanches
Devant les pages blanches
Ces rêves que l'on fait
La laideur de ce monde
Qui entache tant le bonheur
Rend le cœur en pleurs
La vie n'est-elle donc qu'un mirage
Sur les rives du naufrage
Dans la solitude de mes jours de ma vie,
Les yeux pleins de soleil, mais le cœur haletant,
Je te regarde ma verte vallée les yeux mi-clos,
Pourquoi n’as-tu pas le même écho ?
Je scrute la cime des arbres espérant entrevoir,
Un signe, un souffle de vent qui m’apporte l’espoir,
Rien ne bouge, tout est figé même les nuages,
Sont-ils frappés du désespoir de ne pas voir ton image ?
Les oiseaux qui d’habitude chantent à cœur joie,
Les tourterelles qui aiment nous offrir leurs ébats,
Les animaux qui habituellement sont nos rois,
Pourquoi ne se montrent-ils pas ?
Moi aussi, mon âme et mon cœur sont en peine,
Je ne suis pas à la fête, je végète, je me traîne,
Sa voix, sa présence, son absence me pèse,
Je scrute l’horizon avec l’espoir que l’attente s’achève
Sois prudent dans tes jugements.
Les paroles sont des armes puissantes
Qui peuvent faire beaucoup de mal.
Que ta langue ne ridiculise jamais personne.
Que ta bouche ne diminue personne.
Une parole dure, une parole vive
Peut brûler longtemps dans le fond du cœur,
Y laisser une cicatrice.
Tolère que les autres soient,
Qu’ils pensent autrement,
Fassent autrement,
Sentent autrement et parlent autrement.
Dans tes paroles sois généreux et clément.
Les paroles doivent être des lumières.
Les paroles doivent réconcilier rapprocher et apaiser.
Là où les paroles deviennent des armes
On se retrouve face à face comme des ennemis.
La vie est trop courte et notre monde bien trop petit
Pour faire un champ de bataille
Il y a des jours comme ça...
Et tu n'as pas toujours le choix.
Le bonheur parfait sur la terre est difficile à trouver.
Je pense même qu'il ne doit pas exister.
Alors au lieu de le chercher
Contente-toi de ce que la vie t'a donné
Et comme on dit souvent...
Après la pluie, le beau temps !
Regarde autour de toi tu verras
Que tu n'es pas seul dans ton cas.
Des problèmes, tout le monde en a.
Chacun essaie de les surmonter.
On n'a pas le choix, il faut continuer de grimper
Sur la route de la vie souvent escarpée.
Il faut de maudits bons crampons.
Si on ne veut pas finir seul et misérable dans le salon.
On passe tous par de durs moments.
On se dit que rien ne sera pareil comme avant.
Et tout à coup, on se lève un matin
Et juste l'air et le soleil nous font du bien.
On réalise qu'on était un peu dépassé.
Qu'il y a de belles choses à regarder.
Si on prend le temps de s'y arrêter.
Et de regarder de tous les côtés.
N'oublie pas que chaque 24 heures
Est un bonheur à savourer
Alors... reprends-toi !
C’est elle, c'est la tristesse.
Elle étend sur les choses une clarté blafarde,
Un nuage de cendre qui fait pleurer tes yeux.
Tout ce que tu aimais semble te dire adieu,
Et tu n'entrevois plus que la mort sous ses hardes.
Alors l'autre s'invite et prend toute la place.
Elle chasse amis, parents, et d'un trait, les effacent.
Autour de toi plus rien, elle amortit les bruits,
Elle baisse la lumière, t'alanguit de paresse,
Elle est douce et jalouse, elle prépare ta nuit.
Cette lente asphyxie, c'est elle, c'est la tristesse.
Cette larme remplie de tristesse
Elle coulait le long de tes joues,
Laissant derrière elle un soupçon de chagrin.
Elle laissa tes yeux pour aller mourir doucement...
D’où elle naquit, nul ne le saura,
Qui l’a fait naître, non plus...
Seul ton cœur meurtri en connaît les mots,
Qui servent à la décrire.
Elle est le résultat d’un amour manqué,
D’une douleur latente.
Elle est ce qui déborde en toi.
Une vie à la dérive l’a fait naître,
Un destin qui renonce à te voir.
Elle lui appartient, elle n’est pas tienne...
Même si de tes yeux elle coule.
Elle est venue pour te soulager,
Pour t’empêcher de succomber
Secrètement, dans le silence,
Sans que personne ne s’en aperçoive.
Cette larme, tu ne l’as pas souhaitée,
Tu ne l’as pas désirée.
Mais elle est là dans tes yeux,
Elle tombe et te mouille de peines.
Elle transporte en elle toute une vie,
Un chagrin que tu ne sais décrire.
Il te manque,
Plus que tu ne saurais jamais le dire.
Elle fuit ce monde d’indifférence.
Elle s’est recroquevillée, doucement isolée.
Vivre pourquoi faire.
Si ce n’est que pour déplaire.
Plus rien n’a vraiment d’importance
Quand il n’y a que souffrance.
Son cœur s’est vidé.
Plus rien n’y est resté.
Elle ne veut plus rien donner.
Plus rien conserver.
Elle se sent seule au monde.
Ses yeux s’inondent
De larmes qui la désarmes.
La tristesse est devenue sa maitresse
Quand tout n’est que désarroi,
Qu’il n’y a plus de joie.
Parfois, elle se sent perdue.
Complétement nue
Face à l’indifférence.
Elle ne fait plus confiance.
Tout n’est que mensonge dans la vie.
Elle se sent meurtrie.
Rien ne la console aujourd’hui.
Elle fuit ce monde d’indifférence.
D’impertinence,
Où tout n’est qu’hypocrisie face à la vie
Ou chacun vit simplement pour lui
Pleurer n'est pas une honte.
Cela soulage le cœur.
Permet de se vider et prouve que tu es humain.
Verser une ou des larmes par amour,
Une perte, ou de joie c'est la vie,
On est fait ainsi.
C'est la nature de l'être humain.
Une larme est belle.
Elle coule le long de ton visage.
Caresse ta joue pour finir soit
Direction ta bouche ou ton cou.
Elle est froide.
Elle est salée.
Mais elle est née comme ça
Pour nous faire comprendre son existence.
Pleure si tu as mal.
Pleure si tu es heureux(se).
Pleure si tu aimes.
Le silence !
Ce néant de nouvelles
Qui t’a rendu trop malheureuse
Alors que tu demeurais si heureuse.
Que votre histoire était si belle.
Ce silence qui t'a tant fait souffrir
Et qui t'a longtemps fait pleurer.
Il aura fallu des mois douloureux
Pour trouver réponse aux questions.
Il aura fallu toute ces appréhensions
Pour enfin enlever et ôter ce pieu
Qui avait transpercé ton cœur
Quand il t'a laissé dans les pleurs
Parce que vous n’étiez plus deux !
Aujourd’hui le temps est ton allié.
La patience est ta grande force.
Même si tu sais que cela t'écorche.
A ce mal tu tentes d'y pallier
Parce que tu n'as qu’une seule idée,
Que jamais rien ne t’en détournera,
Même si les doutes sont là.
Car seul le cœur saura te guider !
La seule vraie tristesse est dans l'absence de désir
La tristesse est un mur élevé entre deux jardins. Souvent une fausse joie vaut mieux qu'une tristesse dont la cause est vraie. Si nous ne naissons que pour les plaisirs des sens, pourquoi ne peuvent-ils nous satisfaire, et laissent-ils toujours un fonds d'ennui et de tristesse dans notre cœur ?
Le seul bien qui me reste au monde est d'avoir quelquefois pleuré. Souvenons-nous que la tristesse seule est féconde en grandes choses. A la mélancolie d'une dernière représentation s'ajoute la tristesse que l'on ne pourra pas, demain, être meilleur. Conquérir sa joie vaut mieux que de s'abandonner à sa tristesse.
Hélas ! La grande tristesse actuelle est que les choses n'ont plus le temps de vieillir. L'âme résiste bien plus aisément aux vives douleurs qu'à la tristesse prolongée. C'est fou comme la voix seule peut dire d'une personne qu'on aime de sa tristesse, de sa fatigue, de sa fragilité, de son intensité de vivre, de sa joie. Sans les gestes, c'est la pudeur qui disparaît, la transparence qui s'installe. Ne laisse pas la tristesse t'étreindre avant que la terre te prenne dans son sein.
Nous sommes si aveugles que nous ne savons quand nous devons nous affliger ou nous réjouir : nous n'avons presque jamais que de fausses tristesses ou de fausses joies. Une âme élevée se réjouit peu, ne s'afflige jamais, et, dans toute chose ne laisse paraître aucun signe de joie ou de tristesse.
La joie et la tristesse sont toutes deux des chaînes ; l'une est en or et l'autre est en fer, mais elles sont également faites pour nous enchaîner et nous empêcher de réaliser notre vraie nature. La vie est tristesse. Surmonte-la.
Les années défilent comme le vent.
Emporte les feuilles à l'automne.
Mais les questions demeurent au temps
Comme sont ancrés les sentiments.
Elles ont leurs saisons
Comme on a le bourdon.
Périodes qui changent les humeurs
En toute douceur ou avec frayeur.
Et l'on traverse ces nuages d'espaces.
Et les couleurs s'éloignent des rivages.
Et l'esprit trotte dans tous ces espaces.
Et seules les traces se voient sur le visage.
Malgré les sourires, malgré les envies
Certaines empreintes restent indélébiles.
On a beau changer le décor, changer d’île.
Il est des flèches plantées dans le cœur, à vie
Tu t’es recroquevillée.
Tu n’as plus envie de parler.
Ton cœur est déchiré.
Les palpitations sont démesurées.
Tu as fait un arrêt sur image.
Tu n’arrives pas à tourner la page.
Le chagrin te brise toute entière.
Tu te sens vide et amère.
Tes larmes se brisent sur tes joues.
Tu ne ressens que du dégoût.
Ta tête est pleine de pensées.
Tu n’arrives pas à les exorcisées
Tu as mal au plus profond de toi.
Il te manque et tu ne le supporte pas.
Le manque on ne s’y habitue pas.
Le vide on ne le comble pas.
Aujourd’hui,
Les souvenirs remontent à la surface.
Ta tristesse,
Tu la prends en pleine face.
Tu ne veux pas oublier tous ces souvenirs.
Tu ne veux pas les voir partir.
Ton désespoir est toujours aussi grand
Il pleut sur ton cœur.
Sur ton immense douleur.
Tu hurles en silence
Cette intime souffrance.
Mais personne ne t’entend.
Tes cris se perdent dans le néant.
Le vent les emporte sans un bruit
Comme des messagers sans vie.
Tu t’enfermes dans ce monde
Peuplé d’ombres moribondes
Qui tournent autour de toi.
T’emprisonnent dans leurs bras.
Il pleut sur ton cœur.
Les larmes coulent et se meurent sur tes joues
Sur ton visage,
Sur ton âme en naufrage
Seule partition comme bagage, son cœur.
Que de douces images en douceur.
Des notes en rafale qui y demeurent.
Des émotions qui s’emballent et y meurent.
Aucun chef d’orchestre.
Elle mène sa barque comme un chemin pédestre.
Elle y dépose ses marques.
Elle coordonne sa vie tout en folie.
Elle déverse ses pleurs, ses douleurs.
Elle vide son âme.
Ses vagues à l’âme au fil du temps lentement.
Aucune trace ne perdure.
Juste quelques blessures.
Emotionnelle.
Rebelle.
Elle avance tel un soldat.
Elle guide ses pas.
Elle n’attend rien.
Simplement la fin.
Le temps s'écoule en cadence,
Comme tes larmes sur tes joues en abondance.
Tic-tac...tic-tac fait l'horloge,
L’heure du changement en dégorge.
Ce n'est plus le moment des regrets,
Ils appartiennent désormais au passé.
Aujourd'hui tu veux t'enivrer d'amour,
À t'en étouffer chaque jour.
Avancer vers cette lueur,
Et goûter à de nouvelles saveurs.
Tic-tac...tic-tac fait la vie,
Elle défile pendant que toi tu vieillis.
Quitte à te trainer,
Tu ne vas pas abandonner.
Et si tu dois y arriver en rampant jusqu'au bonheur,
Alors tu te feras violence et vaincras ta peur.
Tu as tant rêvé de cette chaleur,
Qui adoucirait ton cœur.
C'est donc dans une lutte acharnée,
Que tu traverseras cette tempête déchainée.
Le compte à rebours a déjà commencé,
Tu dois, coûte que coûte te sauver.
Aujourd’hui tes mots
Se sont perdus dans la souffrance
Les lettres se trouvent dispersées
Au fond de ton cœur
Tu n’arrives plus à y puiser
Toutes leurs douceurs
Tu n’arrives plus à créer
De belles cohérences
Terrible douleur
Qui t’arrache les tripes, le cœur
Un vide, un manque
Qui t’enlève ton soleil
Plus rien ne sera plus jamais
Contes et merveilles
Souffrance tragique
Qui te détruit de l'intérieur
Foutu destin
Que celui qui touche le meilleur
Alors que le mauvais
S’en sort toujours très bien
Foutu espoir
Qui nous fait croire aux lendemains
Et qui nous afflige pourtant
Son lot de malheurs.
Tu as beau avoir une gomme au bout de ton crayon
Mais tu ne peux pas effacer le passé
Ni d'ailleurs ton présent
Tu ne peux pas effacer tes mots,
Tes gestes, ta douleur
Comme tu effacerais des mots sur du papier
Tu ne pourras jamais effacer
Les personnes de ta mémoire
Comme tu les effacerais de ton Facebook
Ou de ton répertoire.
Le passé ou le présent laisse des traces
Et il te hante et te torture
Tu ne pourras jamais effacer ta souffrance.
Qui peut dire qu’il n’a jamais
Pleuré et/ou déprimé en silence ?
Qui peut dire qu’il n’a jamais
Voulu tout recommencer ?
Qui peut dire qu’il n’a jamais
Eu les larmes aux yeux dans son passé
Ou dans un état actuel ?
N’oublie jamais tes larmes
Car elles te permettront de devenir meilleur
Si ce soir je te racontais une histoire?
L'histoire de ces deux personnes qui n'osaient croire,
Que l'amour était pour eux, mais pour les autres,
L'amour n'est ni le tien, ni le mien, mais le nôtre.
Et si ce soir je te chantais une chanson ?
Qui exprimerait mes désirs et émotions,
Dans le refrain, ton prénom je le crierai,
Et dans ton cœur, en or le mien je graverai.
Et si ce soir je t'écrivais un poème?
Qui parlerait d'une femme pour qui l'être suprême,
N'est ni une légende, ni une fable, ni un dieu,
Un homme à qui elle voue l'amour glorieux.
Mais je ne ferai rien de tout cela,
Je vais lever mes yeux et mirer le ciel,
J'y verrai ton étoile, je penserai à toi,
Et puis je dirais simplement que je t'aime...
Rien ne peut remplacer dans ce monde
Ce qui fait vibrer notre âme
La seule chose qui arrive vagabonde
Et emporte tout telle une flamme
Cette chose nous transperce le cœur
Elle le poignarde, le fait voler en éclat
Nous l'aimons et cela sans peur
Car c'est d'elle même que l'on arriva
Ce mot est universel Il peut être présent chaque jour
C'est lui qui nous ensorcèle
C'est ce doux mot : l’amour
La vie est une chanson faite de pleurs et de rires,
Si tu as un crayon commence à l'écrire.
Quand tu auras les mots choisis ton tempo ...
Il est temps de s'amuser c'est à toi de chanter.
Mais cette chanson est à toi,
Tu peux donc y mettre fin,
Mais ne serait-ce pas mieux,
Tu crois, d'attendre le dernier refrain ?
Sache que l'instant est unique
Peut-être même magique,
Il faut donc profiter de chaque couplet.
A présent, tu ne dois pas reculer,
Car même si l'on dit que le passé fait de nous ce que l'on est,
Le présent pourra toujours tout changer.
Où es-tu soleil de ma vie ?
Que fait tu loin de mon cœur.
Emmène-moi près du soleil.
Tu es venu me voir.
Comme un nouveau printemps.
Sans me dire tout bas,
Ce que j'espérais entendre.
Je t'aime toi mon ange.
Mon soleil du matin,
Tu as égaillé mon cœur.
En lui donnant du bonheur.
Tu es loin de moi.
Mais si près de mon cœur.
A chaque instant, il bat
Et combats pour toi.
Un jour viendra,
Ou nous serons unis
Réunis par notre amour,
Qui dureras toujours.
Dans la vie,
On croise des gens précieux,
Qu’on voudrait garder toujours auprès de soi,
Mais qui, pour des raisons
Qui ne tiennent ni à eux, ni à nous,
Sont forcés de s'en aller.
Ce n'est pas qu'ils nous abandonnent de leur plein gré,
Ni que nous soyons coupables de n'avoir pas su les retenir,
C’est juste que, parfois,
Il ne peut en être autrement.
Il m'est arrivé de chérir profondément
Des êtres que j'ai perdus,
Et c'est peut-être pour cela qu'on écrit,
Pour les retrouver et cheminer,
L’espace d'un instant,
À leurs côtés.
Comme si rien n'avait changé.
Cette plume
Si légère
Si douce
Si colorée
Si éclatante
Cette plume
Qui parcouru le monde entier
A la recherche de paysages nouveaux
Comme si elle n’avait pas vu le plus beau !
Cette plume si brillante
Cette plume si vivante
Si souriante
Si simple
Et si décidée
Que têtue comme elle est
Il n’y a qu’une chose qui puisse l’arrêter
C’est cette chose qu’elle cherche
Et qui est si simple à trouver
Qui est encore plus belle que les étoiles
Cette chose ...
C’est l’amour !
Comment l'amour meurt-il ?
Vous pensez que l'amour meurt du jour au lendemain ?
Non, l'amour meurt lentement.
Il meurt par le manque de dialogue,
Le manque d'affection,
Le manque d’attentions et de gentillesse
Et par un manque d’intérêt par rapport à l'autre.
L'amour n'est pas fait de grandes manifestations
Mais de petits détails.
Il survit avec des petits gestes au quotidien,
Un bonjour,
Un comment vas-tu,
As-tu bien dormi,
Un puis-je t'aider,
Un gentil mot murmuré à l'oreille,
Un petit bisou,
Un câlin sans raison aucune,
Des rires partagés,
Un je serai toujours là.
La grandeur de l'amour est faite d’attitudes
Petites et gratuites.
L’amour doit être alimenté tous les jours
Pour rester en vie....
Avant de briser un cœur,
Regarde si tu n'es pas à l'intérieur.
Il est un amour qui ne nécessite pas
De connaître quoi que ce soit à ton sujet,
Il ne pose aucune condition,
Ne demande rien.
Je n’ai pas besoin de savoir
Si tu as un talent spécial avant de t’aimer.
Le simple fait que tu Sois, et tu Es,
Fait que tu es Cela
Et Cela est l’Amour lui-même
C’est l’amour véritable.
Ce n’est pas un amour à propos de quelque chose
« Je t’aime parce que tu es si belle »,
« Je t’aime parce que tu me donnes quelque chose »,
« Je t’aime parce je vois ce que tu fais » …
Tu as quel âge ?
Tu as l'âge de voir les choses avec tranquillité
Mais dans l'intérêt de continuer à évoluer.
Tu as i l'âge de caresser tes rêves du bout de tes doigts
Et de voir tes illusions se transformer en espoir.
Tu as l'âge ou l'amour est parfois une flamme
Qui a besoin de consumer dans le feu d'une passion désirée,
Parfois un havre de paix,
Tel un coucher de soleil sur la plage.
Tu as l’âge de savoir ce que tu veux
Mais surtout ce que tu ne veux plus ...
Tu as quel âge ?
Tu n’as pas besoin de nombre,
Car tes désirs réalisés,
Les larmes que tu as versées en voyant tes illusions se briser
Valent beaucoup plus que ça ...
Quelle importance d'avoir vingt,
Quarante, soixante ans !!
Ce qui importe c'est l'âge qui te correspond.
Tu as l'âge qu'il te faut pour vivre libre
Et sans peur.
Poursuivre ton chemin sans crainte,
Car tu portes avec toi l'expérience que tu as acquise
Et la force de tes désirs.
Tu as l'âge suffisant pour faire ce que tu veux
Et ce que tu ressens ...
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