Il est un amour qui ne nécessite pas De connaître quoi que ce soit à ton sujet, Il ne pose aucune condition, Ne demande rien. Je n’ai pas besoin de savoir Si tu as un talent spécial avant de t’aimer. Le simple fait que tu Sois, et tu Es, Fait que tu es Cela Et Cela est l’Amour lui-même C’est l’amour véritable. Ce n’est pas un amour à propos de quelque chose « Je t’aime parce que tu es si belle », « Je t’aime parce que tu me donnes quelque chose », « Je t’aime parce je vois ce que tu fais » …
Étiquette : Réflexion
Qui me dira où nous allons – Tu es ma solitude
Frank Michael – Tu es ma solitude
Qui me dira où nous allons
Si notre choix est bien ou bon
Si sur les routes sans retour
Entre nos doutes, nos détours
S’il n’y a rien
Quand marcher seul me semble long
Je t’imagine à l’horizon
Au soir le ciel, au loin encore
Dessine les courbes de ton corps
Tu m’appartiens
Tu es ma solitude et ma folie
Tu es mon vent du sud les jours de pluie
Comme un soleil au bout de ma nuit
Comme un coin de ciel bleu au matin gris
Tu es ma solitude et tu m’enchaines
A cette incertitude où tu promènes
Entre mes silences et mes cris
Mon cœur fou amoureux tu es ma vie
Qui me dira quel est ton nom ?
Es-tu amour ou illusion ?
Qui me dira pourquoi j’y crois
S’il n’y a rien si c’est toi
Qui sera là !
Tu es ma solitude et ma folie
Tu es mon vent du sud les jours de pluie
Comme un soleil au bout de ma nuit
Comme un coin de ciel bleu au matin gris
Tu es ma solitude et tu m’enchaines
A cette incertitude où tu promènes
Entre mes silences et mes cris
Mon cœur fou amoureux tu es ma vie
Tu es ma solitude tu es ma vie
J’attends. Le vent gémit…
J’attends.
Le vent gémit.
Le soir vient.
L’heure sonne.
Mon cœur impatient s’émeut.
Rien ni personne.
J’attends, les yeux fermés
Pour ne pas voir le temps passer en déployant les ténèbres.
J’attends, cédant au sommeil dont la quiétude tente,
J’ai passé cette nuit en un rêve d’attente.
Le jour est apparu baigné d’or pourpre et vif,
Comme hier, comme avant, mon cœur bat attentif.
Et je suis énervé d’attendre, sans comprendre,
Comme hier et demain, ce que je puis attendre.
J’interroge mon cœur, qui ne répond pas bien…
Ah ! qu’il est douloureux d’attendre toujours – rien
Par un petit billet écrit à la va vite,
Par un petit billet écrit à la va vite,
C’est un peu d’amitié qu’on s’envoie sur ce site…
Chacun à son niveau fait preuve de mérite,
Pour dire avec ses mots tout l’amour qui l’habite…
.
On s’échange parfois un sourire d’ermite,
Un timide câlin dont l’envolée subite,
Est née tôt le matin, à l’aube qui crépite,
Un souffle d’autrefois à l’aune d’Aphrodite…
.
On livre un peu de soi, sans répondre au mystère,
De tout ce qui échoie à l’être solitaire,
Qui court après l’amour depuis l’adolescence…
.
On donne et on reçoit, en lisant ses confrères,
Et puis on s’aperçoit qu’écrire est salutaire,
Pour nous ôter du poids de notre obsolescence…
Regardez l’eau couler, écoutez-la !
Les états psychiques négatifs comme le chagrin, la tristesse, le découragement, sont produits par des impuretés que vous avez laissé pénétrer en vous, et ils troublent votre organisme psychique, comme un poison ou d’autres substances toxiques peuvent troubler votre organisme physique.
Mais en apprenant à utiliser les pouvoirs de l’eau, vous aurez les moyens de remédier à ces états.
Regardez l’eau couler, écoutez-la : que ce soit une source, un ruisseau, une cascade, l’eau qui coule, libère le plexus solaire en entraînant les éléments obscurs et disharmonieux qui le perturbaient.
Car l’eau qui coule est l’image du renouvellement perpétuel de la vie, et en la regardant vous êtes influencé.
Évidemment, en ville, dans la vie quotidienne, il n’est pas facile de rencontrer des sources et des cascades, mais alors, ouvrez un moment le robinet !
C’est moins poétique, mais cela peut être aussi efficace.
L’essentiel, c’est que vous entriez en contact avec l’eau qui coule.
Pensez qu’elle emporte avec elle, tout ce qui s’oppose au jaillissement de la vie en vous.
Ggo
Quand les mots ne suffisent plus.
Quand les mots ne suffisent plus.
Parce qu’à l’intérieur,
Quelque chose nous brûle,
Quelque chose qu’on ne peut pas dire.
.
Qu’on n’arrive pas à dire.
.
Quand la personne qui est en face de toi,
Au lieu de te donner la réponse
Que tu souhaiterais, te dit autre chose.
.
Elle en dit plus.
Elle en dit trop.
.
Ce trop qui n’est rien.
Qui ne sert à rien,
Mais qui fait deux fois plus mal.
La vraie justice et liberté.
La vraie justice et liberté.
J’entends le bruit continu du vent
Qui souffle sur les arbres la nuit.
.
Les feuilles immobiles auparavant
Sont soudainement prises à minuit
D’un désir intense de se détacher
Des branches et trouver la liberté.
.
Libérées, elles volent pour chercher
D’autres lieux pour s’y attacher.
.
Epuisées après la chute du vent
Elles se retrouvent sur le sol
Sans merci, piétinées par les passants.
.
Elles regrettent alors les temps
Anciens, jeunes, belles
.
Elles respiraient de la cime des arbres
A plein poumons cet air pur ; rebelles
Elles ignoraient la beauté du cadre
Fort malheureuses d’avoir été liées.
L’âme attristée, elles se mirent à pleurer,
Leurs chaudes larmes par le sol absorbées,
Elles comprenaient trop tard le sens inné
De la vraie justice et liberté.
Trop angoissée, tu laisses tout tomber.
Trop angoissée
Tu laisses tout tomber.
.
Tu te sens mal.
Ce n’est pas banal !
.
Ta respiration est lourde.
Autour de toi, tout tourne.
.
Dans ta tête, n’importe quoi.
Une biche qui crie aux abois.
.
Les mots sont lents à se coucher.
Sur tes feuilles, tes feuilles de papier
.
Tu essaies de maîtriser la situation.
Les yeux clos, une drôle de sensation.
Et voilà que la moitié de ta vie s’est écoulée
Et voilà que la moitié de ta vie s’est écoulée
Avec le même chant dans ton esprit,
Comme un cœur qui bat,
Un acharnement de la vie…,
.
L’appel du loup.
.
Le messager de la terre nous donne le fond de sa pensée,
Âmes sensibles ne vous abstenez pas,
Le mal est ainsi frappé,
Et ainsi va le temps…
.
Nulle perfection dans la vie,
La sagesse grandira en toi,
Tu aimeras plus que jamais tes enfants,
Ta maison sera un havre de paix,
Tu diras tout ce que tu as appris à qui voudra l’entendre,
.
La nature restera figée
Dans un spectacle merveilleux
Et époustouflant,
Puisse-t-il en être ainsi…
.
À ton dernier souffle
Le miracle perdurera dans ton esprit,
Il y résonnera le hurlement du loup,
L’écho incessant du monde sauvage,
Un souffle frais sur les ardeurs du mal,
.
Ainsi nulle brûlure dans l’éternité,
Juste la grandeur d’une vie passée
Pleine d’envie de détermination,
D’équilibre et de sérénité.
Tu n’as plus de patience pour certaines choses,
Tu n’as plus de patience pour certaines choses, non pas parce que tu es devenue arrogante, mais tout simplement parce que tu es arrivée à un point dans ta vie où tu ne veux pas perdre plus de temps avec ce qui te blesse, ou te déplaît.
Tu n’as aucune patience pour le cynisme, la critique excessive ni pour les exigences de quelque nature que ce soit. Tu as perdu l’envie de plaire à ceux qui ne t’aiment pas, d’aimer ceux qui ne t’aiment pas et de sourire à ceux qui ne veulent pas te sourire.
Tu ne consacres plus une seule minute à ceux qui mentent ou veulent te manipuler. Tu as décidé de ne plus vivre avec la prétention, l’hypocrisie, la malhonnêteté et l’éloge pas cher.
Tu n’as pas à t’adapter aux bavardages et commérages. Tu détestes les conflits et les comparaisons. Tu crois à un monde de contrastes et c’est pour ça que tu évites les gens au caractère rigide et inflexible. En amitié, Tu n’aimes pas le manque de loyauté ni la trahison.
Tu ne t’entends pas bien avec ceux qui ne savent pas faire de compliment ou dire un mot encourageant. Les exagérations t’ennuient.
Et pour couronner le tout, tu n’as plus aucune patience pour ceux qui ne méritent pas ta patience.
Ils se sont consumés, évaporés ces mots écrits
Ils se sont consumés
Évaporés ces mots écrits
.
Ces mots remplis de promesses
Qui n’ont jamais été tenues
.
Ils ont disparu de ta vue
Ces mots écrits
Mais pas de ta mémoire
.
Chacun de ces mots est une blessure
À jamais inscrite dans ton être
.
Tu les garde et ne veux surtout pas les oublier
Ces mots écrits car ils t’ont appris
L’amour, c’est comme …
L’amour,
C’est comme une cigarette ça pique les yeux
Ça fait pleurer et ça part en fumée.
.
L’amour,
C’est comme une photo
Ça se développe dans le noir.
.
L’amour,
C’est comme un bac à sable
Ça commence par une pelle et sa finit par un râteau.
.
L’amour,
C’est comme la grippe
Ça s’attrape dans la rue et sa finit au lit.
.
L’amour,
C’est comme une cigarette
Le mec l’allume, la fille savoure
Et les parents l’éteignent.
.
L’amour,
C’est comme l’orage
Ça commence par un coup de foudre
Et ça finit par un vent
Le monde tourne-t-il à l’envers ?
.
Qui fait le monde ?
L’homme… En proie à ses besoins élargis
À ceux du superflu et du futile.
.
Qui s’accapare le monde ?
L’homme… Dominé par son égotisme,
Son besoin de pouvoir
De domination sur la « différence »
Et sur ce déni à faire émerger
Certaines de ses facettes de naissance.
.
La société ?
L’homme…du haut de son amas de dénégation
Et de fainéantise collective
Dirigées à l’évidence à ce qui tend
À vouloir assombrir notre lumière intérieure…
.
Le monde tourne à l’homme
Et ses facettes,
Tantôt claires, courageuses et innées,
Tantôt grisâtres et fourmillant
.
Des doutes d’un certain collectif haineux
Mais aussi de celui de vibrantes étincelles
Tantôt si sombres à glisser et sombrer
Dans l’abime d’inflexions
Et de brèches internes meurtries.
Que sommes-nous sans amour,
Que sommes-nous sans amour,
Des êtres entiers sous carapace,
Semant graines sèches sur le parcours,
En tentant d’éviter l’impasse,
Car sans les autres nous sommes bien peu,
En échangeant on s’enrichit,
Difficile d’être vraiment heureux,
Quand trop de silence nous appauvrit,
Ce n’est pas de parler pour rien dire,
Ou de se voir sans se regarder,
Qui fera arrêter les soupirs,
Que l’isolement vient apporter,
Et si demain tu croises quelqu’un,
Fais attention à ses non-dits,
Il se peut qu’il ait besoin d’une main,
Pour l’accompagner dans la vie,
Ce n’est pas qu’il faille aimer tout le monde,
Juste prendre garde à la détresse,
Faire entrer l’union dans la ronde,
Pour diminuer la tristesse.
Tu es la forme que j’habite,
Tu es la forme que j’habite,
Comme tu habites en moi.
.
Un seul cœur, une seule voix,
Deux qui ne font qu’un être unique.
.
Cadeau des Dieux, notre rencontre,
Née sur les chemins du hasard,
.
Un bref éclair dans le ciel sombre,
L’éternité dans un regard,
.
La solitude a regagné.
Les marais de l’indifférence.
Écrire, tout simplement.
J’écris mes moments de tristesse.
J’écris mes moments de tendresse.
J’écris mes moments de détresse.
Mais aussi les moments de bonheur.
Les sentiments et les humeurs.
J’exprime tous ce que je vois et ressens.
J’écris, depuis tous ce temps.
De l’humour aux sentiments sains.
Jusqu’à la rengaine et la peine.
En passent par la haine.
De la peur à l’effroi.
Du cœur à l’émoi.
Alors j’écris quoi qu’il en soit.
J’écris, mais pas n’importe quoi.
Écrire à la fois, sans foi ni loi.
Mais écrire en toute bonne foi.
Écrire, tout simplement.
Quelle est la femme la plus difficile à conquérir ?
Quelle est la femme la plus difficile à conquérir ?
La femme qui va bien toute seule.
.
Pourquoi ?
Parce que cette femme a surmonté la douleur de la perte,
De l’absence,
Du manque,
Elle a transformé la défaite en victoire,
Elle a appris à s’aimer.
.
C’est une femme forte et elle est l’héroïne d’elle-même.
Ce n’est pas une femme pour tout le monde.
Juste pour les héros.
.
L’homme doit valoir plus que ses défaites
Et ses victoires
Pour la conquérir… !!!
À peine la journée commencée et … Il est déjà six heures du soir.
À peine la journée commencée et …
Il est déjà six heures du soir.
A peine arrivé le lundi et c’est déjà vendredi. …
Et le mois est déjà fini. …
Et l’année est presque écoulée. …
Et déjà 40, 50 ou 60 ans de nos vies sont passés. …
Et on se rend compte qu’on a perdu nos parents, des amis.
Et on se rend compte qu’il est trop tard pour revenir en arrière …
.
Alors…
Essayons malgré tout, de profiter à fond du temps qui nous reste…
N’arrêtons pas de chercher à avoir des activités qui nous plaisent…
Mettons de la couleur dans notre grisaille…
Sourions aux petites choses de la vie qui mettent du baume dans nos cœurs.
.
Et malgré tout, il nous faut continuer de profiter avec sérénité de ce temps qui nous reste.
Essayons d’éliminer les « après » …
Je le fais après …
Je dirai après …
J’y penserai après …
.
On laisse tout pour plus tard comme si « après » était à nous.
Car ce qu’on ne comprend pas, c’est que :
Après, le café se refroidit …
Après, les priorités changent …
Après, le charme est rompu …
Après, la santé passe …
Après, les enfants grandissent …
Après, les parents vieillissent …
Après, les promesses sont oubliées …
Après, le jour devient la nuit …
Après, la vie se termine …
Et après c’est souvent trop tard….
.
Alors…
Ne laissons rien pour plus tard…
Car en attendant toujours à plus tard,
Nous pouvons perdre les meilleurs moments,
Les meilleures expériences,
Les meilleurs amis,
La meilleure famille…
.
Le jour est aujourd’hui…
L’instant est maintenant…
.
Nous ne sommes plus à l’âge où nous pouvons nous permettre de reporter à demain ce qui doit être fait tout de suite.
.
Alors,
Voyons si vous aurez le temps de lire ce message
Ou alors vous le laisserez peut-être pour…
« plus tard »…
« jamais » ….
Lâcher prise des offenses que l’on a subis,
SE LIBERER DE LA RANCUNE :
Lâcher prise des offenses que l’on a subis, puis pardonner, n’est ni une obligation ni une impossibilité.
C’est avant tout le chemin de la cicatrisation des blessures.
C’est décider de ne pas haïr, parce que le ressentiment, la rancune, la haine sont des poisons qui nous détruisent.
Pardonner, c’est avant tout un acte que l’on pose pour soi-même, pour retrouver la possibilité d’aimer et d’être en paix.
Lâcher prise et pardonner, ne signifient pas « excuser ».
Celui qui a commis un acte répréhensible sera confronté aux conséquences de son acte et aura à réparer les torts causés.
Lâcher prise des offenses subies, pardonner, c’est avant tout se libérer de la rancune, de la haine, sans excuser ni cautionner, ni se montrer lâche ou stupide
Je ne tourne pas les pages, je les écris.
Je ne tourne pas les pages,
Je les écris.
Moi, je ne « tourne pas les pages »,
Je déteste cette expression simpliste,
Je n’oublie rien,
Je ne zappe pas,
Je ne renouvelle pas ma vie
Comme si rien avant n’avait existé.
Elle est un fil continu que je tisse,
Je ne gomme personne,
Je suis fait de tous mes souvenirs,
De mes amours,
Je suis un patchwork
Vivant de moments de vie,
Je suis fait des autres,
Pour les autres,
Et chacun m’a construit ou meurtri.
Je ne tourne pas les pages,
Je les écris.
Ggo / Georges
Charlotte Valandrey -De cœur inconnu – 2011
Prisonnière de tes souvenirs bon et mauvais
Prisonnière de tes souvenirs bon et mauvais,
Tu ne poses plus ton regard à l’horizon.
Derrière ces barreaux d’acier
Tu vois le temps passé.
.
L’aiguille d’une montre qui bouge sans bouger,
Démissionnaire et pourtant, tu sens le sang
Qui coule dans tes veines.
Ton cœur bat toujours.
.
Est-ce une prison que tu as battis de tes propres mains,
Ou faite par les circonstances,
Peu importe, c’est ainsi.
.
Pourquoi, c’est ainsi ?
Et pourquoi pas autrement ?
Pourquoi tout ce qui commence bien tourne mal ?
Dois-tu commencer quelque chose de mal, pour finir bien ?
La cellule dont tu loges est conçue de souvenirs.
Comme des pierres les unes sur les autres
Ou comme les carreaux d’un échiquier noir et blanc,
Tu te refuges souvent dans le blanc pour oublier le noir,
Autant de blanc que de noir
.
Tu n’as pas perdu et tu n’as rien gagné.
L’ampleur de l’amertume du juste-milieu,
Ni triste, ni heureux t’empêche d’espérer,
.
Dans la vie, soit, on perd soit on gagne.
Usé par ces échecs qui s’abattissent sur toi,
Tu vois partir tes rêves, tes espérances.
Sans bouger, que faire et comment t’évader
De ce qui est mort en toi.
.
Et le temps passe et passe sans bouger,
Sans vouloir bouger,
Peut-être satisfait de ce que tu as eu,
Mais non, on n’est jamais satisfait.
Tu aimerais bien bouger avec l’aiguille de cette montre.
Ça t’aiderait à briser ces barreaux d’acier pour t’évader,
Tu te sentiras de nouveau libre et enfin enterrer ce qui est mort.
Faire renaître tes rêves et tes espérances
Pour continuer et peut être, changer d’horizon.
Sans chercher, tu as trouvé des mots nouveaux.
Au printemps sans chercher, tu as trouvé des mots nouveaux.
Des mots chargés de tendresse et de délicatesse.
Des mots simples et beaux comme le chant des oiseaux.
.
Mais le temps a changé.
Les chaleurs sont arrivées.
.
À l’été, naturellement, les mots sont devenus brûlants.
Dans vos étreintes enflammées, ils se sont même envolés.
.
Des mots comme aimer ou éternité.
C’était sans compter sur un changement de temps.
.
Le temps a changé.
Les feuilles sont tombées.
.
À l’automne comme les feuilles,
Les mots semblaient tous rouillés.
.
Plus que, des on verra, ou des je ne sais pas.
Des mots fatigués que tu n’as plus le temps de prononcer
Les souvenirs vont et viennent
Les souvenirs vont et viennent, tel le ressac de l’océan.
Ils sont insaisissables, pouvant ressurgissent à tous moments.
.
Les souvenirs nous broient le cœur ou bien nous réconfortent.
Tout comme les pensées, il en existe de toutes sortes.
.
Parfois, quand les forces t’abandonnent,
Quand tes pensées t’emprisonnent
Tu t’efforces de garder cette peur insipide
Même si ton regard reste livide.
.
Quelquefois, ton visage est baigné de larmes
Après le souvenir de cette sanglante lame.
Tu hurles pour pouvoir oublier
Même si ces tourments ne s’en iront jamais.
Que des mots, oui, c’est que des mots.
Que des mots, oui, c’est que des mots.
Un mot nous rend heureux, nous fais rêver.
Un mot nous rend tristes, et nous fait parfois pleurer.
.
Que des mots,
L’amour et un mot,
Déception et un mot.
.
La guerre, la paix, l’espoir, la haine, le rêve …
Ce sont tous des mots.
Mais un mot ou quelques mots peuvent changer la vie d’un être.
Vers le mieux ou vers le pire.
.
Un mot peut être un miroir d’un sentiment profond.
Pur et réel, et peut être aussi un masque qui cache une tromperie,
Affiche à ceux qui savent écouter dans leur esprit une traîterie,
.
Méfier vous des masques qui peuvent détruire vos vies,
N’écoutez pas qu’avec vos cœurs.
Le cœur n’écoute pas ce qui l’aime entendre.
.
Le silence et un mot,
Le sourire et un mot,
Des mots mués,
Mais qui signifie grandes choses.
La vie ça fait mal dès que ça commence.
La vie ça fait mal dès que ça commence.
C’est pour ça qu’on pleure dès la naissance.
Puis ça empire jours après jour
Alternant la haine et l’amour.
La vie, on n’a pas demandé à l’avoir.
Pourtant, on doit vivre pour ne pas décevoir.
On doit aimer, détester, adorer.
Sinon « différent, » on est considérés.
Mais même si on n’en prend pas toujours conscience
La vie vaut bien plus que ce que l’on pense.
La vie ça fait rire, mais aussi pleurer.
Ça donne de la joie comme ça fait douter.
Mais il faut en profiter.
Car elle n’est pas « éternité ».
Il arrive un temps dans la vie où on apprend…
Il arrive un temps dans la vie où on apprend la différence entre tenir la main de l’autre et l’enchaîner à soi.
Un temps où on apprend que l’amour ne signifie pas se soulager de tous soucis sur l’autre, et que la compagnie n’est pas toujours une garantie contre la solitude.
Un temps où on apprend que les baisers ne sont que des cadeaux ne sont pas des promesses.
Il arrive un temps dans la vie où on apprend à accepter ses échecs en gardant la tête haute et les yeux ouverts, où on apprend à bâtir notre vie dans l’instant présent parce qu’on ignore si on sera toujours là demain.
Il arrive un temps dans la vie où on apprend que même le soleil brûle si on abuse.
Il arrive un temps dans la vie où on apprend… La souffrance, la peine, l’absence, mais où on apprend qu’on a en soi la force d’y faire face.
Il arrive un temps dans la vie où on découvre… Ce que l’on vaut vraiment et on continue d’apprendre… Avec chaque abandon, chaque perte, chaque départ, on apprend.
Alors travaillons à décorer notre jardin intérieur, au lieu d’attendre que quelqu’un nous offre des fleurs.
Qu’importent les cris et les pleurs
Qu’importent les cris et les pleurs
Dans ce monde de douleur et de sursis.
.
Que peut t’apporter la vie.
Si ce n’est peine et malheur.
.
Dans ton univers inconnu,
Tu ne connais pas le destin.
.
Tu ignores ton passé.
Tu n’en vois que l’extérieur.
Sans en connaître la douleur,
.
Elle est trop bien cachée
Sous un masque de glace,
Enfoui au plus profond de ton esprit,
.
Et révélé par la mélancolie
Que provoquent tes impasses
.
Mais de tout cela,
Tu ignores l’existence.
.
Car tu n’es qu’une illusion,
Et tu finis à l’abandon.
En sombrant dans l’indifférence.
La vie s’apparente à un jardin.
La vie s’apparente à un jardin.
Les feuilles flétrissent.
Et les fleurs se fanent naturellement.
.
C’est seulement si nous éliminons les déchets.
Que nous profiterons pleinement
De la beauté des nouvelles feuilles et fleurs.
.
De même, nous devons éliminer de notre esprit.
Les expériences mauvaises,
Sombres du passé.
.
Vivre, c’est se souvenir d’oublier.
Pardonner ce qui doit être pardonné.
Oublier ce qui doit être oublié.
Embrasser la vie avec une vigueur renouvelée.
.
Nous devrions pouvoir accueillir.
Chaque instant de la vie avec un regard neuf,
Telle une fleur fraîchement éclose.
Si tu n’attends personne qui rentre le soir.
Si tu n’attends personne qui rentre le soir.
Si tu as des idées grises, et même parfois des idées noires.
Si tu n’as jamais eu beaucoup de chance.
Ferme les yeux, imagine une page blanche.
.
Dessine d’abord un petit coin de ciel bleu.
Et qu’importe si dehors il pleut.
Puis au milieu, pose un grand soleil.
Pour chasser la grisaille il n’a pas son pareil.
.
Dessine également une multitude de fleurs
Elles ont toujours fait partie de l’alchimie du bonheur.
N’oublie pas de bâtir la plus belle des maisons.
Ou il fera bon vivre chacune des saisons.
Par la fenêtre ouverte, laisse échapper quelques notes de musique.
Tu verras, pour le moral, c’est fantastique.
.
Dessine de grands arbres, indispensables dans le décor.
Ils te feront de l’ombre, si le soleil brille trop fort.
Sur le bord, laisse couler un petit ruisseau.
Avec un banc, pour venir écouter le bruit de l’eau.
As-tu gardé assez de place pour le plus important.
Alors, maintenant, tu peux dessiner ton prince charmant.
.
Comment, tu me dis encore que tu n’as pas de travail.
Que tu as envie de dessiner un épouvantail.
.
D’accord, d’accord, mais avec un grand chapeau.
Un grand chapeau, ou viennent se poser beaucoup d’oiseaux.
.
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